Mon opposition complète à notre intervention en Irak et en Syrie est connue : je n'y reviens pas.
L'opération d'armement du Liban, via un fonds d'investissement saoudien doté de 3 milliards de dollars, semble bloquée, pour des raisons qui tiendraient à des pressions d'Israël, inquiet de voir des armes tomber aux mains du Hezbollah. Y-a-t-il néanmoins une lueur d'espoir ? Le Liban, ne l'oublions pas, fait face à une offensive de l'État islamique à sa frontière, notamment dans la plaine de la Bekaa.