Vous avez indiqué que l'augmentation de la productivité et la modération salariale ont permis d'éviter la dégradation des comptes des entreprises. Ce discours est hétérodoxe par rapport à celui des entreprises. Pouvez-vous nous expliquer comment vous arrivez à cette conclusion ?
Ainsi que vous l'avez indiqué, le nombre d'emplois attendus a été inférieur à celui escompté, et le chiffre de 350 000 créations d'emplois est contesté par certains, notamment un économiste universitaire auditionné la semaine dernière. Pourtant, cette estimation demeure avancée aujourd'hui par beaucoup.