On aurait peut-être pu figer un peu la situation. Ce qui est frustrant, c'est de voir des gens tomber. Nous aurions voulu faire plus, mais nous n'avons pas pu le faire par manque de moyens matériels.
La BRI avec laquelle nous avons débriefé nous a dit que nous avions eu le bon réflexe : il fallait cerner le Bataclan afin de fixer les terroristes et de leur montrer que nous étions là. Dès lors qu'une présence policière attire leur attention, il y a des chances qu'ils s'intéressent moins aux otages.