Les situations de janvier et de novembre sont différentes. En janvier, lorsque Amedy Coulibaly est entré dans l'Hypercacher, une autre action était en cours à Dammartin-en-Goële. Il fallait conjuguer les deux interventions de manière cohérente. La mise en oeuvre de la FIPN a donc été demandée par le préfet de police de l'époque.
Au mois de novembre, les premières réactions ont consisté à envoyer le RAID sur Paris, en colonne.