Jean-Marc Falcone, directeur général de la police nationale :
Il était sur le terrain, entouré de ses directeurs, du chef de la BRI et de Jean-Michel Fauvergue, chef du RAID. Il a considéré, au vu des événements et d'une situation qu'il vivait et en tant que responsable, qu'il n'avait pas à demander la FIPN.