Le ministre commande le préfet de police, le GIPN, et tout le monde. Il aurait pu le faire à condition que nous en ayons débattu, ce qui n'a pas été le cas. Notre seul souci était d'envoyer des forces. Et celui qui était responsable de ces forces pour mettre un terme à cette tuerie était le préfet de police.
Le préfet de police était sur place, les forces d'intervention lui ont dit comment elles comptaient intervenir, et il a pris sa décision en tant que directeur des opérations.