Les unités du haut du spectre s'en préoccupent depuis plusieurs années. Elles sont capables de traiter le problème de l'amont – travail sous scaphandre, détection de substances NRBC et d'explosifs – à l'aval, c'est-à-dire jusqu'à l'intervention proprement dite. Ce dossier, complexe et ancien, est largement soutenu par le SGDSN, notamment sur le plan financier. Nous ne sommes pas en retard.