Nous sommes devant les écoles à longueur de journée, et filtrons très soigneusement leurs accès. Certes, on ne peut exclure que quelqu'un passe par les toits ou par des souterrains, et dans ce cas nous interviendrions, car nous connaissons très bien tous ces lieux que nous protégeons depuis plus d'un an, qu'il s'agisse des écoles, des synagogues, de l'espace Rachi – le Centre d'art et de culture juive du 5e arrondissement – ou de la Grande mosquée de Paris.