On s'est interrogé sur le fait que nous n'avions pas utilisé de gaz lors de l'assaut contre Merah, ce que les Russes avait fait dans l'affaire du théâtre de Moscou, qui impliquait 800 otages et qui s'est soldée par 117 morts. Des études ont été faites, que nous avons abandonnées. D'une part, la police n'a pas le droit d'utiliser de gaz anesthésiants ; d'autre part, les gaz lacrymogènes n'ont aucun effet sur un forcené ou un terroriste.