Cela m'a beaucoup vexé, mais il était préfet, et je n'ai rien dit.
Partant de là, c'est d'initiative que je me mets en pré-alerte puis en alerte, que j'envoie mon adjoint sur place puis que je m'y rends, sans jamais être saisi de rien. Je rends compte à mon directeur général qui, le sachant, me donne l'autorisation d'y aller. Après, ce sont des affaires qui ne peuvent pas se régler au niveau du chef du RAID.