Ce serait mon rôle, en tant que directeur général, de faire valoir, en cellule de crise, nos capacités, qui sont connues de l'autorité ministérielle, et d'expliquer la plus-value que le GIGN pourrait apporter. Au regard des enseignements que nous tirons tous des événements du mois de novembre, cette posture s'avère nécessaire. Nous en avons beaucoup parlé avec le ministre. Il nous a demandé de nous mettre en place dans Paris durant les fêtes de fin d'année parce qu'il avait bien compris la nécessité de faire appel à nos capacités.
C'est dans cet esprit qu'est conçu le schéma national d'intervention qui sera très prochainement présenté par le ministre de l'Intérieur.