Les discussions vont se poursuivre car toutes les parties y ont intérêt. C'est le cas de l'Union européenne, qui joue un rôle essentiel dans ces négociations, mais aussi de la Russie, qui ne peut se passer du produit de ses exportations de gaz vers l'Ukraine. Je suis donc optimiste quant à la prorogation, au-delà de mars 2016, de l'accord qui vient d'être signé.