Le rapporteur a raison de rappeler cette polémique, d'ailleurs publique, puisque Jean-Jacques Urvoas qui, à l'époque, en tant que parlementaire, faisait partie de la CNCIS, avait clairement démenti que celle-ci ait refusé la prolongation de la surveillance des frères Kouachi. L'arrêt de cette surveillance a donc bien été décidé par les services pour les raisons que vous venez d'indiquer ?