Non. Aujourd'hui, plus de 800 personnes ont l'intention de se rendre en Syrie ; or mon service compte 3 500 personnes dont beaucoup ne sont pas impliquées dans la partie opérationnelle. En outre, il faut bien avoir conscience d'une réalité : on n'entre pas dans les cités comme cela. La mise en oeuvre de la mesure sur le terrain n'est pas aussi simple que cela.