Certains « spécialistes », dans les médias, ont considéré que nous avions sacrifié le renseignement humain au profit du renseignement technique. Vous avez déclaré qu'il ne fallait pas les opposer. Reste que, lors de notre visite en Turquie, l'importance des sources humaines de la DGSE nous a marqués. Qu'en est-il pour votre service ?