En effet, à Paris, il s'agit, en quelque sorte, d'une décision concertée car, si le DGPN reste l'autorité qui active la FIPN, il le fait sur proposition du préfet de police.
Aujourd'hui, les GIPN ayant rejoint « le grand RAID », la FIPN se compose du RAID et de la BRI-BAC. Il me semble que lors des événements que vous évoquez, la BRI-BAC, qui fait bien partie de la FIPN, a bel et bien appliqué la doctrine et les directives issues du retour d'expérience de la FIPN du mois de janvier.