Je confirme ce qui vient d'être dit. En l'occurrence, plusieurs changements de procédé visaient à des améliorations sur certains paramètres. Celles-ci ont d'ailleurs été en général constatées, mais elles pouvaient, dans certains cas, amener à des régressions ou des risques accrus sur d'autres paramètres. Par exemple, un acier coulé permet de parvenir à des concentrations moindres en carbone à certains endroits, mais cela conduit à en avoir de supérieures à d'autres.
Par ailleurs, il n'est pas évident que ces problèmes soient liés à une perte de savoir-faire. Rétrospectivement, il aurait probablement été nécessaire, collectivement, de s'interroger de façon plus approfondie sur les implications de certains changements de procédés, comme cela a été le cas pour les calottes de cuve, pour lesquelles l'ASN a imposé, avec difficulté, des contrôles supplémentaires.