– Je m'associe à cet hommage, d'autant que je fus son vice-président au conseil général de mon département et que je le connaissais bien. J'ai eu plaisir à travailler avec lui. Son parcours fut exceptionnel : d'abord agrégé de mathématiques, il suivit ensuite les traces de son frère médecin pour pouvoir - aimait-il à dire – acheter lui aussi une Peugeot 203... C'est ainsi qu'il devint médecin. Humaniste, il voyait dans la politique, comme dans la médecine, un moyen d'accompagner l'homme dans ses difficultés et de trouver des solutions.
J'ai eu l'honneur de lui succéder ici comme vice-président, comme il me l'avait proposé. Ses obsèques auront lieu jeudi.
(Mmes et MM les parlementaires se lèvent et observent une minute de silence.)