Je suis triste pour le Président de la République que vous ayez ce genre de réflexions ! Je suis triste que la France ait, en son sein, un ministre qui ait si peu de considération pour l'opposition, pour des gens qui essaient de faire prévaloir l'intérêt national sur les intérêts personnels. C'est malheureusement ce qui vous caractérise, madame la garde des sceaux !
Je vous demande donc une dernière fois, instamment, quelles dispositions vous allez prendre pour lutter contre la GPA. (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe UMP.) Vous ne nous répondez pas, et, bien au contraire, vous avez rédigé une circulaire pour l'encourager ! Vous aurez toute votre vie sur votre conscience le malheur d'innombrables femmes, à l'étranger, qui sont des esclaves par leur ventre ! (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe UMP. – Protestations sur les bancs du groupe SRC.)