Puisque M. Mariton s'intéresse au résultat de la loi de règlement, qu'il me soit permis de lui rappeler que s'il n'avait pas été voici cinq ans le rapporteur maudit du projet de loi sur la privatisation des autoroutes, 1,5 à 2 milliards d'euros de péages rentreraient chaque année dans les caisses de l'État.