Reste que la situation actuelle est meilleure. Prenons garde toutefois en légiférant dans le domaine des relations familiales qui peuvent être compliquées : s'il faut parfois protéger le faible, on aurait tort d'écarter systématiquement le juge. C'est pour cette raison que j'ai toujours été très défavorable à la déjudiciarisation du divorce, cas typique où le juge est bien le protecteur du faible.