Madame Burstin, pourriez-vous nous en dire davantage sur les moyens actuels de l'INCa ?
Madame la présidente, nous sommes au tout début de la législature. Ceux d'entre nous qui siégeaient à la commission des affaires sociales pendant la précédente législature savent que la participation y est forte, mais que, revers de la médaille, nos débats ont tendance à s'éterniser. Par conséquent, je serais favorable à ce que nous nous mettions d'accord sur un format d'intervention. Je vous fais la proposition suivante : suivre l'exemple de l'hémicycle où, lors des séances de questions au Gouvernement, le temps de parole est limité à deux minutes et demie ; ceux dont les interventions dépasseraient ce temps pourraient transmettre au secrétariat de la commission une note de cinq à dix lignes à intégrer au compte rendu. Ainsi, nous pourrions tous nous exprimer sans que nos débats traînent en longueur !