Mes chers collègues, j'ai été mis en cause par mon collègue Guillaume Larrivé qui a lu à l'Assemblée nationale un tweet dans lequel j'indiquais que je souhaitais que ce débat cesse.
La soirée que nous venons de vivre – notamment la dernière intervention de notre collègue Poisson annonçant que l'obstruction allait continuer et que nous ne serions peut-être pas dans la capacité de voter mardi prochain, alors que nous nous étions tous engagés, me semble-t-il, pour voter solennellement ce texte mardi prochain – me conforte dans l'idée qu'après 400 heures de débat sur onze jours, après avoir étudié 3 000 amendements, après avoir permis à l'opposition, et c'est normal, de s'exprimer,…