Votre exposé était passionnant : plutôt que de transition énergétique, ne faudrait-il pas parler de transition tout court ? Le coût du capital n'ayant jamais été si bas, ne peut-on d'ailleurs pas voir là l'opportunité d'investir massivement – dans les énergies renouvelables, ou peut-être dans le nucléaire ?
Il paraît impossible d'agir à l'échelle mondiale. Quelle serait alors la bonne échelle de réflexion pour un élu – le petit territoire, la France, l'Europe ?
Vous avez proposé la création d'une mission parlementaire sur les travaux de l'AIE et sur la meilleure façon de prévoir les quantités d'énergie, notamment fossile, dont nous disposerons. Monsieur le président, ne pourrait-on pas envisager la création d'une telle mission ?