Au regard de ce bon sens, des questions tout à fait légitimes pourraient être posées au Gouvernement, ce qui éviterait de discuter d'un texte mal préparé, mal ficelé et, surtout, mal estimé, en particulier sur l'aspect financier, comme l'ont indiqué les différents orateurs de notre groupe.
Au-delà de la suppression de cet article, je pense que le plus simple serait de reporter l'examen du texte, comme 61 % des maires de France le demandent.