N'oublions jamais l'adage : trop d'impôt tue l'impôt ! (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et UDI.)
M. le Premier président a évoqué, ce dont je le remercie, un aspect auquel je n'ai pas suffisamment prêté attention. Citant les soixante-dix mesures fiscales – ou de prélèvements obligatoires – diverses et variées que comportent les différentes lois de finances, il en a conclu que les recettes risquaient de ne pas être au rendez-vous.
Mais l'essentiel, mes chers collègues, n'est pas là. L'essentiel est d'abord dans les dépenses.