La part de la dépense publique qui est d'une stabilité étonnante ces dernières années atteint 56,3 % du PIB en 2012 alors que dans la zone euro, nous sommes seulement à 49,5 %.
Vous dites, monsieur le Premier président, que si cette dépense était totalement efficace, il n'y aurait pas de problème. Je ne partage pas ce point de vue car la contrepartie de 56 points de dépenses publiques passe inévitablement par des prélèvements obligatoires qui détruisent l'initiative et même, à ce niveau, la création de richesses.