Dès le mois de juin, dans la loi de finances rectificative pour 2012, nous avons pris des mesures d'économies sur les dépenses – des mesures de surgel – à hauteur de 1,5 milliard d'euros qui font qu'aujourd'hui, peu ou prou, tout le monde s'accorde à dire qu'à l'épaisseur du trait près, nous tiendrons les prévisions de 4,5 % de déficit nominal.