Monsieur le président, ma question s'adressait à M. le Premier ministre, opportunément absent aujourd'hui. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Nous avons en effet vécu hier une séance de questions au Gouvernement indigne de l'Assemblée et le Premier ministre et son gouvernement en portent une lourde responsabilité. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.)
M. Moscovici, avec le dédain et le mépris qui le caractérisent, a osé dire à notre collègue Alain Chrétien qui posait une question sur PSA qu'il ne l'autorisait pas à le faire.