Monsieur Peillon, vous avez déclaré hier que nous préférions l'argent aux enfants. En vous adressant de cette façon aux députés de l'opposition, vous insultez les parents, vous insultez les enseignants, vous insultez les élus et vous méprisez les enfants. (Vifs applaudissements sur les bancs du groupe UMP. – Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Quant au Premier ministre, absent aujourd'hui, sur un texte qui n'était qu'en première lecture à l'Assemblée, il en est arrivé à distribuer les bons points et les trophées… Vous transmettrez à M. Ayrault que nous n'avons pas besoin d'un présentateur des « Victoires de la musique » ; nous avons besoin d'un Premier ministre de la France ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)