65 % des résidents des EHPAD ont des dégénérescences cérébrales ou syndromes apparentés et peu sont d'origine maghrébine. Il y a une sorte de blocage en la matière et la mixité est quasiment inexistante dans ces établissements. À cet égard, on pourrait inciter les collectivités territoriales à faire en sorte que les lits éligibles à l'aide sociale représentent un certain pourcentage, affecté en priorité aux personnes d'origine étrangère.