Si j'ai laissé M. Cherki dans la perplexité la semaine dernière, je crois que je vais recommencer.
Je ne comprends pas très bien, mais mon incompréhension n'est peut-être pas partagée par tous, pourquoi vous envisagez que l'État puisse avoir une participation dans une filiale qui, par essence, est une filiale spéculative, organisée de manière à ce que, si nécessaire, nous puissions la couper immédiatement au cas où la banque rencontrerait un problème amenant à une résolution. Quel État voudrait prendre une participation ou avoir des liens avec cette filiale ?
La position de la commission des finances n'a donc pas changé. Je ne comprends pas le cas de figure que vous évoquez.