…puisque nous en traiterons dans le cadre d'une réflexion européenne.
Nous débattons donc des stocks-options, objet de déclarations de la part du candidat président qui s'était, alors, engagé à les supprimer.
Il est vrai que ces stocks-options, souvent comme les bonus, poussent, malheureusement, un certain nombre de banquiers à la spéculation. Ils ont intérêt à la volatilité des cours, car plus il y a de volatilité, plus les cours font du yoyo, plus ils peuvent réaliser des bénéfices importants. Nous proposons donc de supprimer ces stocks-options. Cela paraît, sans doute radical, mais la question mérite largement d'être posée, d'autant qu'à l'origine, ces stocks-options s'adressaient aux jeunes entreprises afin de les dynamiser. Elles ont été malheureusement détournées de leur but originel. Il est vrai que cela ne concerne pas que les banquiers, mais ils sont l'objet de notre discussion d'aujourd'hui.