Dans le référentiel du Comité français d'accréditation (COFRAC), la présence d'un biologiste par site est requise. Il n'y a certes pas de biologiste devant chaque patient lors du prélèvement, mais il y en a un dans le site, capable de répondre à une question posée par une infirmière, un technicien ou le patient lui-même. Comment comptez-vous assurer la médicalisation de la profession – qui constitue la raison d'être de ce texte – en acceptant l'absence de professionnels médicaux ?