L'article L. 6211-8, qui pose l'un des principes de la médicalisation de la biologie, permet déjà d'adapter la prescription. Cet amendement propose que lorsqu'il existe des recommandations de bonnes pratiques formulées par la Haute Autorité de santé, le biologiste les prenne en compte si le contexte médical le permet sans risque pour le patient. Donnons de la souplesse. Évitons de rendre les biologistes prisonniers de référentiels qui leur font perdre du temps, y compris dans les cas d'urgence.