Alors que la réforme de 2010 réduit la libre administration des communes et force parfois leur intégration au sein d'intercommunalités dans des périmètres élargis, l'avant-projet de l'acte III de la décentralisation, pour ce que l'on en connaît, renforce encore l'intégration communautaire.
Nous sommes opposés à cette intercommunalité à marche forcée car nous y voyons l'inévitable processus menant à l'évaporation et, à terme, à la disparition des communes.