Vous appelez de vos voeux une « flexibilité maximale » et une mobilisation des crédits européens dans leur intégralité. Quels sont les États membres qui y sont favorables ou, au contraire, opposés ?
Votre exposé m'a paru quelque peu déséquilibré : après un long plaidoyer pro domo, vous avez fini par évoquer brièvement les politiques de l'Union européenne – notamment le programme Erasmus –, et non plus nos seuls intérêts au sein de l'Union. Quels projets européens seraient à même d'atténuer la divergence croissante entre les pays du nord et ceux du sud de l'Europe et d'enrayer les graves tendances centrifuges ?
La victoire de chacun des États membres ne risque-t-elle pas de se solder par une défaite de l'Union européenne ?