Pourtant, au moment de l'annonce du référendum britannique, le Président de la République avait déclaré : « Il n'est pas possible de négocier l'Europe et d'utiliser une telle consultation pour la rabaisser ».
Quelques jours après, sur cette décision majeure du budget européen, la France a plié car elle ne s'était pas assuré le soutien de l'Allemagne.