Cette taxe, vous le savez comme moi, a été votée au Parlement européen bien avant que vous n'arriviez au pouvoir. Ce n'est donc pas M. le Premier Ministre qui a lancé le débat sur les ressources propres.
Enfin, nous devons privilégier l'Europe de la protection sur celle de la réglementation, l'Europe de la politique industrielle sur celle de la concurrence à tout va, l'Europe des producteurs sur celle des farines animales, l'Europe des volontés sur celle des renoncements, l'Europe des citoyens sur celle des technocrates.
Mes chers collègues, l'Europe n'est pas une option, mais une nécessité qui nous engage toutes et tous ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)