Sans vouloir répondre à tous les intervenants, je tiens tout de même à présenter quelques remarques à la suite de la discussion générale.
S'agissant de l'attribution de la carte du combattant à partir de cent vingt jours de présence sur le théâtre des opérations, notre collègue M. Léonard a parlé de « régression ». S'il fréquentait un peu plus souvent la commission de la défense à laquelle il appartient, il saurait que tel n'est pas le cas. Certes, si actuellement l'un des critères d'attribution est de quatre-vingt-dix jours, je le porte – mais pour tout le monde ! – à cent vingt jours, notamment pour les unités de soutien qui en sont exclues.
Pour sa part, notre collègue Candelier nous a reproché de n'avoir pas fait grand-chose durant la législature précédente. Dois-je lui rappeler que l'on a fait passer l'indice de 37 à 48, ce qui n'avait pas été fait depuis des années ?