Les déléguées régionales doivent mettre en oeuvre des priorités nationales, notamment dans le cadre du plan stratégique. Elles doivent aussi donner l'impulsion à de nouvelles politiques décidées par la ministre des Droits des femmes, et il faut pouvoir adapter ces politiques, ce qui implique en effet des moyens de coordination.
Il est vrai que les régions ou les départements disposent de moyens financiers beaucoup plus importants pour conduire des actions dans le domaine de l'égalité professionnelle ou des violences faites aux femmes. L'articulation s'impose donc au niveau territorial entre les différents partenaires.