Nous nous trouvons devant de grandes difficultés qu'il convient de replacer dans le contexte européen. Dans votre rapport, vous estimez à 1,8 % du PIB la participation de la France à la dette des pays en difficulté dans la zone euro ; or, la situation économique de l'Espagne n'avait pas encore été prise en compte à la fin du mois de juin, au moment de la publication de votre rapport. Cela dit, nous sommes tous ici des euro-convaincus, et l'attachement du Président de la République aux Eurobonds et à la mutualisation des dettes est connu.
Monsieur le Premier président, je vous remercie.