J'ai bien entendu que Presstalis devait revenir à l'équilibre d'exploitation à l'horizon 2014-2015 et qu'il y avait urgence pour 2012 et 2013. La société ne peut continuer d'accumuler 25 millions d'euros de pertes par an, déficit que la distribution parisienne explique à elle seule à hauteur de 15 millions. La réorganisation et la mutualisation que vous appelez de vos voeux auront inévitablement un coût social. Pourriez-vous nous le préciser ?
Élue d'une circonscription rurale, je souhaiterais insister sur le rôle-clé de la distribution des quotidiens nationaux et des magazines dans certains bassins de vie, où elle participe aussi du lien social.