Si nous ne pensions pas que la filière a un avenir, nous ne nous battrions pas comme nous le faisons aujourd'hui pour essayer de trouver des solutions. Cet avenir passe par des restructurations douloureuses. Si nous parvenons à l'échelle de la filière à rationaliser et mutualiser tout ce qui peut l'être, ce qui permettra des économies d'échelle, nous pourrons ensuite tirer parti de notre valeur ajoutée propre. Presstalis n'est en effet pas un logisticien comme un autre. Tous ne savent pas gérer un réseau de proximité ni des flux complexes logistiques, informationnels et financiers. Nous pourrons valoriser nos savoir-faire, lesquels sont d'ailleurs reconnus. Ce n'est pas un hasard si nous avons été retenus pour le projet LUMD.