Je le répète : je ne suis pas sûre que l'altérité soit la condition sine qua non pour assurer le bonheur d'un enfant.
Je ne me situe pas, quant à moi, dans le registre des jugements de valeur où il importe de savoir ce qui est bien ou mal. Notre propos est bien plutôt de poser un cadre permettant de résoudre un certain nombre de problèmes.