Il convient d'être attentif aux conditions de publication de l'étude relative aux sodas light. Elle a été clairement présentée comme une étude descriptive par un chercheur qui s'est montré très rigoureux et très prudent quant à l'explication à donner au phénomène décrit, rappelant qu'aucun lien de cause à effet n'était attesté. Même si ce point suscite aujourd'hui le débat, n'en faisons pas dire trop à ce qui n'est qu'une étude statistique et gardons-nous de toute affirmation définitive. Nous pouvons tout au plus interroger l'INSERM pour tenter d'approfondir la question.