Cessons de mentionner systématiquement le nom de Spanghero dès que l'on évoque le scandale de la viande chevaline ! Car ce n'est pas de cela qu'il s'agit mais bien d'une affaire de tromperie sur la marchandise.
L'action menée par notre collègue dans le Gers est très intéressante. Cela représente 20 % des repas. Et si cette opération exerce incontestablement un effet de levier économique, elle présente surtout un intérêt pédagogique – tant sur le plan gustatif que nutritionnel. Cela étant, Philippe Martin s'est heurté aux règles de la commande publique. Il conviendrait donc que notre commission les fasse évoluer, à moins qu'elles ne relèvent du niveau réglementaire.