Les groupes d'intervention régionaux (GIR) ont été créés pour lutter contre la délinquance sous toutes ses formes grâce à un regroupement des services de la police, de la gendarmerie, des douanes et du fisc. Cette coordination des moyens a permis d'obtenir des résultats non négligeables, notamment en matière de revenus dissimulés.
Une semblable coordination permet-elle de s'attaquer aux sources des revenus des groupes terroristes islamistes, la frontière entre le combat fondamentaliste et le narcotrafic étant plus que poreuse ?