La conjoncture y est peut-être aussi pour quelque chose !
Mais ce qui est inexcusable, monsieur le rapporteur général, c'est de faire porter cet effort pour près de 90 % sur l'augmentation des impôts, et pour seulement 10 % sur la baisse des dépenses publiques.
Ce choix de l'impôt est incompréhensible alors que nous avons l'un des taux de prélèvements obligatoires les plus forts de l'OCDE – 44 % du PIB contre 39,5 % en Allemagne –…