Vous avez raison. Mais Twitter permet à l'élu de ne plus être seulement sollicité, comme c'est le cas avec le courrier électronique : vous pouvez retourner la question. Le rapport est inversé puisque le député indique le sujet de sa réflexion et appelle à des contributions. Reste que l'on ne peut en effet organiser un débat à coups de messages de 140 caractères !
Les débats de l'Assemblée nationale pourraient également tirer profit d'outils de simulation, de discussion ou de collaboration en temps réel.